This is my archive

Dans cet article, nous présentons la première analyse approfondie du rôle des associations dans la recherche participative. Nos données empiriques proviennent de l’étude de 32 associations subventionnées pour leurs activités de recherche et d’innovation. Dans un premier temps, nous présentons ces associations et leurs rapports aux connaissances scientifiques. Dans un second temps, nous identifions leur rôle dans les projets, les réseaux, et les infrastructures, en mobilisant les cadres conceptuels des intermédiations systémiques pour la durabilité. Nos observations révèlent que les associations sont des intermédiaires de recherche qui facilitent le mouvement d’idées et d’acteurs à différents niveaux du système de recherche et d’innovation. Elles peuvent ainsi participer à la transformation du système dominant, et contribuer aux transitions écologiques et solidaires. Nos travaux relèvent des études sur l’innovation sociale.
Codes JEL : D83, O38

Supporting Research Intermediations: A Necessity for Sustainable Transitions

We present here the first in-depth analysis of the role of associations in citizen science. Institutions often limit associations either as “volunteer providers” in crowdsourcing or as “citizen providers” in co-creation. Based on the study of 32 associations funded for their research and innovation activities for sustainable development, we have identified two categories of associations depending on whether they are involved in social innovation or natural sciences. In addition, we have observed that all these associations fulfil three essential functions in participatory research, functions that the literature on transitions has called “intermediation”. These functions are not only aimed at the production of knowledge and actionable knowledge. They also aim to influence the dominant system for transitions through networks and infrastructures. Finally, we insist on the need to legitimize associations for their crucial role in citizen science beyond projects.
JEL Codes: D83, O38

La germination des graines est directement corrélée
avec la température et l’humidité du sol. L’idéal est de
semer en sortie d’été/début d’automne, afin de
profiter de la chaleur des sols accumulée durant l’été.
La plupart des groupes GIEE et Dephy sèment juste
après les vendanges. L’objectif est de positionner le
semis juste avant une pluie, pour que l’eau profite au
semis, et moins au stock de graines adventices
éventuellement présent dans le sol. A ce titre, une
erreur fréquente est de semer après une pluie, et de
voir les adventices prendre le dessus sur les espèces
semées.

Augmentation de la fertilité minérale du sol via la capacité du couvert à restituer des éléments nutritifs au sol pour l’arbre et la vigne (azote assimilable, potasse et phosphore).
Amélioration de la structure et du fonctionnement de la matière organique des sols = contribution du couvert à la structure et à la vie du sol
Meilleure stabilité du sol = capacité du couvert à limiter l’érosion.
Augmentation de la capacité de rétention en eau = capacité du couvert à maintenir un sol frais et humide et à améliorer l’infiltration de l’eau.
Augmentation de la portance du sol = capacité du couvert à permettre des passages en tracteur plus rapidement après une pluie
Limitation du développement des adventices et réduction du nombre de passage dans l’inter-rang = capacité du couvert à prendre le dessus sur les adventices.
Propriétés nématicides et nématifuges
Propriétés mellifères = capacité du couvert à accueillir des abeilles
Limitation de la pression ravageur = capacité du couvert à ramener de la biodiversitéet des auxiliaires de cultures