2024 - CR – journée de rencontre Blajan : Organisation collective d’une unité de tri, stockage et conditionnement (Bio Ariège Garonne)
Journée organisée par la FD CUMA
Objectif : Comment construire une filière de légumes secs en Haute-Garonne ?
Journée organisée par la FD CUMA
Objectif : Comment construire une filière de légumes secs en Haute-Garonne ?
Le Guide de la Distribution de produits bio en Occitanie et Nouvelle-Aquitaine
INTERBIO Nouvelle-Aquitaine et INTERBIO Occitanie se sont associés pour publier ce guide destiné aux entreprises de transformation, aux coopératives et aux producteurs bio de leurs deux régions. Bien plus qu’une simple présentation des principaux distributeurs implantés en Occitanie et en Nouvelle-Aquitaine, ce guide précise également les méthodes de référencement de chacun, afin de faciliter les partenariats commerciaux entre les acteurs de la filière bio. Cette première édition recense les réseaux bio spécialisés, les grossistes bio régionaux, les distributeurs de la GMS généralistes, ainsi que les acteurs du e-commerce. Chaque fiche présente les informations suivantes de manière synthétique :
– La présentation du réseau, de l’entreprise et de ses spécificités ;
– La qualification de l’offre ;
– L’organisation logistique du réseau ;
– Le référencement : parcours de référencement, cahier des charges … ;
– Les contacts.
Ce guide comprend aussi des informations sur le panorama de la distribution des produits bio en France et les tendances de marché, ainsi qu’une fiche thématique sur le vrac
Fiche réalisée par Sud & Bio, ex interpro Languedoc-Roussillon
Fiche réalisée par Sud & Bio, ex interpro Languedoc-Roussillon
Fiche réalisée par Sud & Bio, ex interpro Languedoc-Roussillon
Le magazine présente les résultats d’une campagne de bilans carbone menée par Solagro en partenariat avec l’ADEME sur des élevages bio de l’AVeyron.
Rencontre Terr’eau bio réalisée le 26 octobre 2023. Intervention de l’AFPC (Association Française des Producteurs de Cannabinoïdes) et visite d’une ferme productrice de CBD bio.
L’objectif de cette démonstration était de tester de l’argile kaolinite contre le puceron vert du pois et contre la bruche. Ce produit est sensé agir comme une barrière physique contre les piqûres de pucerons sur les apex floraux et les pontes d’oeufs de bruches sur les gousses.
Sur deux, ans, 2007 et 2008 un suivi de différents ravageurs (pucerons, sitone, bruche) a été réalisé sur féverole et pois afin d’identifier des techniques de gestion.
L’utilisation du sarrasin était en plein essor dans la région Occitanie et aucune référence n’existait sur la conduite de la culture dans la région. La conduite du sarrasin est complexe car c’est une culture à cycle court et de type non déterminé. Ainsi un semis trop précoce peut engendrer des problèmes de reverdissement en été, et un semis trop tardif peut limiter la levée de la culture. L’objectif de l’essai était donc de pouvoir fournir des conseils pour l’itinéraire technique du sarrasin en termes de dates et densités de semis ainsi qu’étudier l’interaction entre ces deux éléments de l’itinéraire technique du sarrasin.
La culture du pois chiche, qui se développe bien sur les sols caillouteux et secs, présente de nombreux intérêts agronomiques. C’est une culture peu exigeante et elle permet de dégager pour l’agriculteur, notamment en agriculture biologique, des marges conséquentes [1] avec des coûts de revente importants [2]. Il n’existait avant ces essais aucune référence régionale sur les itinéraires technique du pois chiche d’où une nécessité de produire des expérimentations pour aider les agriculteurs à optimiser leur production en AB.
[1] Chambre d’agriculture du Gers. Les références technico-économiques sur le Gers. 2016
[2] Sud&Bio. Filière Grandes Cultures LR. 2012.
Les résultats d’essais visaient à identifier la pertinence de la fertilisation dans le cas d’une association blé/pois. Plusieurs éléments ont été regardés: la nutrition des cultures, les composantes du rendements mais aussi l’impact sanitaire sur les deux cultures.
Le CREABio a travaillé sur la conduite du sorgho depuis 2010. Le principal problème rencontré concerne la levée du sorgho, qui régulièrement présente un taux de perte important. Cette perte a pour conséquence à la fois de limiter le rendement par manque de pieds, mais elle perturbe également la moisson car le sorgho talle, et les talles secondaires sont décalées beaucoup plus tardive à maturité ce qui gène la récolte. Cette perte s’explique à la fois par les conditions de semis (sol battu par les pluies ou trop sec) et par la présence de taupin. En 2013 un essai a même été mis en place sur les solutions facilitant les levées
Ces rapports reprennent les résultats de 4 années d’expérimentations menées par le CREABio sur l’évaluation de populations anciennes de blé tendre.
Les essais menés par le CREABio ont été composés de deux parties :
Un essai analytique à blocs à 3 répétitions conduit en station d’expérimentation au
domaine de la Hourre à Auch dans le Gers dans lequel sont des populations actuellement cultivées en Occitanie
Un suivi de parcelles d’un réseau de producteurs situé dans le Gers les Hautes-Pyrénées et la Haute-Garonne qui est animé par les Bios du Gers et le GAB65
Les rapports d’essais présentent les évaluations variétales qui ont été réalisées sur blé tendre de 2002 à 2020. Jusqu’en 2017 les évaluations ont été réalisées en conduite avec et sans fertilisation. L’abandon de la modalité fertilisation fait suite à une série d’essais qui montrent que la fertilisation n’est pas rentable en Occitanie.
Les variétés ont été évaluées sur leur composantes du rendements mais aussi sur leur profil sanitaire et leur capacité à être concurrentielles vis à vis des adventices. Les variétés ont été évaluées sur 2 années minimum et 3 au maximum.