Centre de Ressources Documentaires Bio Occitanie

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Rapport de stage sous la direction de Marc Miette

Le groupe DEPHY Arbo Bio Occitanie et Agribio82

En 2016, un groupe de onze arboriculteurs d’Agribio82 du TarnetGaronne ont débuté un projet au sein du Réseau DEPHY Ferme. Il s’insère dans le plan ECOPHYTO, visant à diminuer l’usage Indice de Fréquence de Traitements (IFT) de 50% en 2025 par rapport à 2018. L’objectif principal du groupe DEPHY Ferme est de diminuer l’usage de produits phytopharmaceutiques (PPP), notamment le cuivre. L’utilisation de fongicides et insecticides doit être fortement réduite tout en limitant les pertes de récolte. Afin de répondre à cela, plusieurs essais ont été réalisés sur les parcelles de raisin de table, pour substituer et/ou réduire les doses de cuivre grâce à l’usage de produits alternatifs, de minidoses de cuivre ainsi que le développement d’autres pratiques culturales.

Action pilotée par le ministère chargé de l’agriculture et le ministère chargé de l’environnement, avec l’appui financier de l’Office Français de la Biodiversité, par les crédits issus de la redevance pour pollutions diffuses attribués au financement du plan Ecophyto

Synthèse du diagnostic territorial réalisé en 2021 sur les filières bovines et ovines de l’Est-pyrénéen par BioOccitanie, le Biocivam de l’Aude, Bio Ariège-Garonne et le GAB des Hautes-Pyrénées, en partenariat avec l’INRAe, le CIVAM 66, BLE et le CIVAM Bio Béarn. Etude financée par le Commissariat de Massif.

Suite consultable dans le Mag de la Bio n°20 – Déc 2021, pp 10 – 14.

En 2016, un groupe de onze arboriculteurs d’Agribio82 du Tarn-et-Garonne ont débuté un projet au sein du Réseau DEPHY Ferme.Il s’insère dans le plan ECOPHYTO, visant à diminuer l’ Indice de Fréquence de Traitements (IFT) d e 50% en 2025 par rapport à 2018. L’objectif principal du groupe DEPHY Ferme est de diminuer l’usage de produits phytopharmaceutiques (PPP), notamment le cuivre pour le raisin.
L’utilisation de fongicides et insecticides doit
être fortement réduite tout en limitant les pertes de récolte. Afin de répondre à cela, plusieurs essais ont été réalisés sur les parcelles de raisin de table, pour substituer et/ou réduire les doses de cuivre grâce à l’usage de produits alternatifs, de minidoses de cuivre, ainsi que le développement d’autres pratiques culturales.

Suite dans le Magazine de la Bio N°20, pp 19 – 20.

Le développement des filières bios (de la production à la commercialisation en passant par l’accompagnement technique
et économique) ne pourra se faire sans outils d’abattage et de
transformation. Les éleveurs bios doivent répondre à la demande
sociétale de filière traçable et de qualité, mais doivent également
être en cohérence avec les valeurs fondatrices de l’agriculture biologique
inscrites dans le cahier des charges européen en prévoyant de réduire la
souffrance animale au strict minimum, y compris pour l’abattage.
Le développement de solutions d’abattage mobile rattachées aux
abattoirs existants permettrait d’apporter des solutions aux enjeux
de centaines d’éleveurs bios répartis sur toute la région Occitanie, et
de leur permettre de répondre aux attentes des consommateurs avec
l’ensemble des acteurs de la filière
.

Cette synthèse propose des éléments de réponse à ces objectifs. Elle rend compte d’un travail d’état des lieux des initiatives d’abattage mobile en Occitanie, entrepris en 2021 par différents groupements bio de la région : le GAB 65, les Bios du Gers, Bio Ariège-Garonne, le Bio CIVAM de l’Aude, l’Apaba et Bio 46. Ce travail a été réalisé pour répondre à 3 objectifs :
– Dr
esser un état des lieux des dynamiques d’abattage mobile dans la région ;
– Identifier les
possibilités, les freins et les leviers de réussite dans le développement de ces projets ;
Fournir un cadre d’échange et de mutualisation pour réfléchir aux stratégies d’accompagnement et de coopération à l’échelle régionale.



L’agriculture est, sans aucun doute, parmi les activités humaines, une de celles qui reste le plus directement influencée par le climat, et sera donc particulièrement impacté par les effets du changement climatique.
En première partie, ce document se penche sur le changement climatique dans les Hautes-Pyrénées (ce qui est déjà observable et ce qui nous attend en 2050), et ses impacts sur les différentes cultures présentes sur le département.
Dans un second temps, des leviers d’atténuation et d’adaptation sont présentés, suivi d’un focus sur l’Agriculture Biologique.

L’utilisation du sarrasin était en plein essor dans la région Occitanie et aucune référence n’existait sur la conduite de la culture dans la région. La conduite du sarrasin est complexe car c’est une culture à cycle court et de type non déterminé. Ainsi un semis trop précoce peut engendrer des problèmes de reverdissement en été, et un semis trop tardif peut limiter la levée de la culture. L’objectif de l’essai était donc de pouvoir fournir des conseils pour l’itinéraire technique du sarrasin en termes de dates et densités de semis ainsi qu’étudier l’interaction entre ces deux éléments de l’itinéraire technique du sarrasin.

La culture du pois chiche, qui se développe bien sur les sols caillouteux et secs, présente de nombreux intérêts agronomiques. C’est une culture peu exigeante et elle permet de dégager pour l’agriculteur, notamment en agriculture biologique, des marges conséquentes [1] avec des coûts de revente importants [2]. Il n’existait avant ces essais aucune référence régionale sur les itinéraires technique du pois chiche d’où une nécessité de produire des expérimentations pour aider les agriculteurs à optimiser leur production en AB.

[1] Chambre d’agriculture du Gers. Les références technico-économiques sur le Gers. 2016

[2] Sud&Bio. Filière Grandes Cultures LR. 2012.

Le document fait la synthèse d’une série d’essais sur les itinéraires techniques pour la maitrise de l’enherbement sur blé tendre d’hiver. Les essais ont comparés la possibilité de semer en double écartement avec ou sans passage de herse étrille ou de bineuse. Les résultats suggèrent que les semis en écartement plus importants sont adaptés surtout pour des situations où la flore adventice est problématique. En effet, les travaux du sol ont un impact sur la culture et potentiellement sur le rendement.

Les rapports d’essais présentent les évaluations variétales qui ont été réalisées sur blé tendre de 2002 à 2020. Jusqu’en 2017 les évaluations ont été réalisées en conduite avec et sans fertilisation. L’abandon de la modalité fertilisation fait suite à une série d’essais qui montrent que la fertilisation n’est pas rentable en Occitanie.

Les variétés ont été évaluées sur leur composantes du rendements mais aussi sur leur profil sanitaire et leur capacité à être concurrentielles vis à vis des adventices. Les variétés ont été évaluées sur 2 années minimum et 3 au maximum.

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