Fiche technique sur le tournesol
- Place dans la rotation
- Choix de la parcelle
- Préparation du sol
- Choix variétal
- Semis
- Désherbage mécanique
- Irrigation
- Fertilisation et fertilité
- Maladies et ravageurs
- Récolte, stockage et vente
Fiche technique sur le tournesol
L’actualité climatique et l’érosion des sols démontrent l’urgence à capitaliser sur les cultures préservant et améliorant les SOLS et la ressource en EAU de nos territoires. Les cultures de demain sont donc pour nous des cultures qui agradent le sol et sa fertilité, qui répondent et préservent la bonne gestion de l’eau (moins consommatrices d’eau, résistance au stress hydrique).
Elles permettent également la plus grande autonomie possible des agriculteurs qui les cultivent en limitant les intrants. En lien avec les problématiques actuelles de souveraineté alimentaire locale, elles sont valorisées en majorité en circuit court, et seront sur les tables de la restauration collective et commerciale demain si chacun les promeut.
Cette fiche prospective traite des « cultures de demain », des cultures préservant et améliorant les sols et la ressource en eau.
Rapport de stage sous la direction de Marc Miette
Le groupe DEPHY Arbo Bio Occitanie et Agribio82
En 2016, un groupe de onze arboriculteurs d’Agribio82 du Tarn–et–Garonne ont débuté un projet au sein du Réseau DEPHY Ferme. Il s’insère dans le plan ECOPHYTO, visant à diminuer l’usage Indice de Fréquence de Traitements (IFT) de 50% en 2025 par rapport à 2018. L’objectif principal du groupe DEPHY Ferme est de diminuer l’usage de produits phytopharmaceutiques (PPP), notamment le cuivre. L’utilisation de fongicides et insecticides doit être fortement réduite tout en limitant les pertes de récolte. Afin de répondre à cela, plusieurs essais ont été réalisés sur les parcelles de raisin de table, pour substituer et/ou réduire les doses de cuivre grâce à l’usage de produits alternatifs, de minidoses de cuivre ainsi que le développement d’autres pratiques culturales.
Action pilotée par le ministère chargé de l’agriculture et le ministère chargé de l’environnement, avec l’appui financier de l’Office Français de la Biodiversité, par les crédits issus de la redevance pour pollutions diffuses attribués au financement du plan Ecophyto
Synthèse du diagnostic territorial réalisé en 2021 sur les filières bovines et ovines de l’Est-pyrénéen par BioOccitanie, le Biocivam de l’Aude, Bio Ariège-Garonne et le GAB des Hautes-Pyrénées, en partenariat avec l’INRAe, le CIVAM 66, BLE et le CIVAM Bio Béarn. Etude financée par le Commissariat de Massif.
Suite consultable dans le Mag de la Bio n°20 – Déc 2021, pp 10 – 14.
En 2016, un groupe de onze arboriculteurs d’Agribio82 du Tarn-et-Garonne ont débuté un projet au sein du Réseau DEPHY Ferme.Il s’insère dans le plan ECOPHYTO, visant à diminuer l’ Indice de Fréquence de Traitements (IFT) d e 50% en 2025 par rapport à 2018. L’objectif principal du groupe DEPHY Ferme est de diminuer l’usage de produits phytopharmaceutiques (PPP), notamment le cuivre pour le raisin.
L’utilisation de fongicides et insecticides doit être fortement réduite tout en limitant les pertes de récolte. Afin de répondre à cela, plusieurs essais ont été réalisés sur les parcelles de raisin de table, pour substituer et/ou réduire les doses de cuivre grâce à l’usage de produits alternatifs, de minidoses de cuivre, ainsi que le développement d’autres pratiques culturales.
Suite dans le Magazine de la Bio N°20, pp 19 – 20.
RETOUR D’ESSAIS PAYSANS SUR LA DIMINUTION DU CUIVRE EN RAISIN DE TABLE – GROUPE DEPHY FERME 82
Article paru dans le Mag de la Conversion n°17, Avril 2021
Le développement des filières bios (de la production à la commercialisation en passant par l’accompagnement technique
et économique) ne pourra se faire sans outils d’abattage et de transformation. Les éleveurs bios doivent répondre à la demande
sociétale de filière traçable et de qualité, mais doivent également être en cohérence avec les valeurs fondatrices de l’agriculture biologique
inscrites dans le cahier des charges européen en prévoyant de réduire la souffrance animale au strict minimum, y compris pour l’abattage.
Le développement de solutions d’abattage mobile rattachées aux abattoirs existants permettrait d’apporter des solutions aux enjeux
de centaines d’éleveurs bios répartis sur toute la région Occitanie, et de leur permettre de répondre aux attentes des consommateurs avec
l’ensemble des acteurs de la filière.
Cette synthèse propose des éléments de réponse à ces objectifs. Elle rend compte d’un travail d’état des lieux des initiatives d’abattage mobile en Occitanie, entrepris en 2021 par différents groupements bio de la région : le GAB 65, les Bios du Gers, Bio Ariège-Garonne, le Bio CIVAM de l’Aude, l’Apaba et Bio 46. Ce travail a été réalisé pour répondre à 3 objectifs :
– Dresser un état des lieux des dynamiques d’abattage mobile dans la région ;
– Identifier les possibilités, les freins et les leviers de réussite dans le développement de ces projets ;
– Fournir un cadre d’échange et de mutualisation pour réfléchir aux stratégies d’accompagnement et de coopération à l’échelle régionale.
L’agriculture est, sans aucun doute, parmi les activités humaines, une de celles qui reste le plus directement influencée par le climat, et sera donc particulièrement impacté par les effets du changement climatique.
En première partie, ce document se penche sur le changement climatique dans les Hautes-Pyrénées (ce qui est déjà observable et ce qui nous attend en 2050), et ses impacts sur les différentes cultures présentes sur le département.
Dans un second temps, des leviers d’atténuation et d’adaptation sont présentés, suivi d’un focus sur l’Agriculture Biologique.
Comment valoriser et différencier la viande biologique du massif des Pyrénées ?
Synthèse d’une étude menée de février à novembre 2021 par Bio Occitanie, le Biocivam de l’Aude, Bio–Ariège–Garonne, le GAB 65 et l’INRAe et financée par le Commissariat de Massif des Pyrénée
GIEE Pays de l’Or
– diagnostics de durabilité et échanges techniques –
GIEE en maraîchage sur le Pays de l’Or pour l’approvisionnement bio local de la restauration collective
Origine du projet : émergence en 2018-2019
→ obligation de réaliser des diagnostics de durabilité
→ financements DRAAF pour animation du collectif
Objectif de répondre au marché public