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Cette rencontre s’est déroulée à la Ferme de la Borie Haute, au Vigan. Elle avait pour objectifs de montrer les pratiques d’entretien à réaliser régulièrement sur ses matériels à petits moteurs pour une bonne longévité et de donner des pistes de réflexion en cas de panne. C’est le paysan boulanger, Sebastien Passarieu qui est intervenu lors de cette
rencontre en partageant ses connaissances et son savoir faire en mécanique.

Cette rencontre technique avait pour objectif de faire découvrir du matériel d’irrigation connecté aux agriculteurs du
Lot. Pour se faire, Bio 46 a fait intervenir Solem, une entreprise qui développe des solutions d’irrigation connectées
commercialisées sur le département et utilisées par quelques uns de nos adhérents.

Tous les ans, Bio 46 organise une rencontre « Bilan de campagne » afin de réunir les agriculteurs pour qu’ils échangent
sur les réussites et les difficultés de la campagne agricole, les pratiques agricoles mises en place et leurs besoins en
termes d’accompagnement. Ces retours sont importants pour les agriculteurs mais aussi pour Bio 46 car ils nous
permettent de guider nos actions pour l’année suivante.

Ceutorhynchus assimilis, le charançon gallicole du chou, est un coléoptère ravageur
des brassicacées, assez peu recensé en France. Sa présence se caractérise par des galles
sphériques renfermant une loge larvaire, qui rendent le légume impossible à commercialiser.

L’APABA, les Bios de l’Aveyron, présente dans cette vidéo une synthèse des pratiques agroécologiques que l’on peut mettre en place sur sa ferme pour retrouver performance économique, autonomie décisionnelle, qualité environnementale et santé animale, dans une démarche d’amélioration continue et une approche globale de la ferme. L’enjeu étant de pérenniser les filières d’élevage aveyronnaises face aux aléas climatiques et économiques. Basée sur le témoignage du GAEC de Bouviale qui est passé d’un système ensilage de maïs à un système d’agroécologie puis en Bio : « on est passé de 600 000L de lait à 2 on crevait de faim, à 300 000 L de lait on vit à 6 », nous y retrouvons les notions d’autonomie protéique via les fourrages (méteils), la fertilisation (fumiers, cycle de l’azote, la vie du sol et de la plante), l’assolement et les rotations, la maitrise du pâturage, le développement de la ressource bocagère, la réduction des charges et la performance économique de la ferme dans le respect de la santé animale.