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Pour conforter la viabilité et la pérennité des exploitations maraîchères biologiques de l’Ariège et de la Haute-Garonne, Richard LAIZEAU, arboriculteur et consultant en gestion, est intervenu auprès des producteurs au cours d’une formation de deux jours.
L’objectif était d’accompagner les producteurs à calculer les prix de revient de leurs productions afin qu’ils fixent des prix de vente rémunérateurs, juste pour les consommateurs et assurant la durabilité de la filière.

La réalisation du planning de cultures en fin d’année est primordiale pour organiser le travail de la saison à venir et assurer l’approvisionnement régulier et en quantités suffisantes des débouchés.

Afin de permettre aux maraîchers bio récemment installés en Ariège et Haute-Garonne d’acquérir une méthodologie
et de travailler ensuite sur leurs propres plannings, Laurence ESPAGNACQ, chargée de mission maraîchage à la Chambre d’Agriculture de la Haute-Garonne, est intervenue au cours d’une journée de formation.

La maîtrise de l’irrigation en maraîchage biologique est primordiale puisqu’elle va influer sur la qualité et les rendements des légumes produits. En effet, en plus de couvrir les besoins des cultures, la gestion des techniques d’irrigation va permettre de prévenir les maladies et de lutter contre les ravageurs.
Afin de permettre aux maraîchers bio de l’Ariège et de la Haute-Garonne d’approfondir leurs connaissance de la gestion de l’irrigation, Simon CORDIER, conseiller en irrigation de l’Ardepi, est intervenu au cours de deux journées de formation.

Dans le but d’approfondir leurs connaissances sur les moyens de gestion et d’amélioration de la fertilité du sol, des maraî-chers bio de l’Ariège et de la Haute-Garonne ont suivi deux formations avec l’intervention d’Hélène VEDIE, chargée de la gestion de la fertilité des sols de l’équipe maraîchage du GRAB d’Avignon,
L’objectif de cette fiche est de présenter aux maraîchers et porteurs de projet les méthodes d’évaluation de la fertilité qui existent. Les méthodes simples à réalisées par les maraîchers et accessibles sont détaillées, celles demandant des
connaissances spécifiques sont simplement citées.

Il semblerait que depuis quelques années, la courtilière, marque son retour dans les exploitations maraichères bio, auxquelles elle cause de nombreux dégâts, sans qu’il n’y ait de solutions pour pouvoir gérer la pression qu’elle occasionne. Cela s’avère d’autant plus vrai dans un contexte d’agriculture biologique, ou les produits phytopharmaceutiques sont proscrits. Il existe néanmoins quelques pistes, pour en venir à bout pendant quelques temps, ou tout du moins, pour faire diminuer sa population localement.