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Fiche technique sur le tournesol

 

  • Place dans la rotation
  • Choix de la parcelle
  • Préparation du sol
  • Choix variétal
  • Semis
  • Désherbage mécanique
  • Irrigation
  • Fertilisation et fertilité
  • Maladies et ravageurs
  • Récolte, stockage et vente

 

 

 

L’actualité climatique et l’érosion des sols démontrent l’urgence à capitaliser sur les cultures préservant et améliorant les SOLS et la ressource en EAU de nos territoires. Les cultures de demain sont donc pour nous des cultures qui agradent le sol et sa fertilité, qui répondent et préservent la bonne gestion de l’eau (moins consommatrices d’eau, résistance au stress hydrique).
Elles permettent également la plus grande autonomie possible des agriculteurs qui les cultivent en limitant les intrants. En lien avec les problématiques actuelles de souveraineté alimentaire locale, elles sont valorisées en majorité en circuit court, et seront sur les tables de la restauration collective et commerciale demain si chacun les promeut.

Cette fiche prospective traite des « cultures de demain », des cultures préservant et améliorant les sols et la ressource en eau.

  • Les variétés de population : résilientes et adaptées au pédoclimat (focus sur variétés anciennes de blés, maïs, tournesol)
  • Les 3 épeautres : rustiques et riches nutritivement
  • Le chanvre : des atouts écologiques, agronomiques et économiques
  • Le millet : une céréale d’été pleine d’avenir
  • Le sorgho : l’alternative au maïs
  • Des amandiers, des oliviers … ?

Cette fiche traite de l’ABC : l’Agriculture Biologique de Conservation

Définition – Enjeux – Pratiques d’agriculteurs – Freins et leviers

Elle a pour objectif de clarifier ce qu’on appelle l’Agriculture Biologique de Conservation, de (mieux) vous faire connaitre les pratiques associées ainsi que des parcours d’agriculteurs en chemin vers cette agriculture.

Rapport de stage sous la direction de Marc Miette

Le groupe DEPHY Arbo Bio Occitanie et Agribio82

En 2016, un groupe de onze arboriculteurs d’Agribio82 du TarnetGaronne ont débuté un projet au sein du Réseau DEPHY Ferme. Il s’insère dans le plan ECOPHYTO, visant à diminuer l’usage Indice de Fréquence de Traitements (IFT) de 50% en 2025 par rapport à 2018. L’objectif principal du groupe DEPHY Ferme est de diminuer l’usage de produits phytopharmaceutiques (PPP), notamment le cuivre. L’utilisation de fongicides et insecticides doit être fortement réduite tout en limitant les pertes de récolte. Afin de répondre à cela, plusieurs essais ont été réalisés sur les parcelles de raisin de table, pour substituer et/ou réduire les doses de cuivre grâce à l’usage de produits alternatifs, de minidoses de cuivre ainsi que le développement d’autres pratiques culturales.

Action pilotée par le ministère chargé de l’agriculture et le ministère chargé de l’environnement, avec l’appui financier de l’Office Français de la Biodiversité, par les crédits issus de la redevance pour pollutions diffuses attribués au financement du plan Ecophyto

En 2016, un groupe de onze arboriculteurs d’Agribio82 du Tarn-et-Garonne ont débuté un projet au sein du Réseau DEPHY Ferme.Il s’insère dans le plan ECOPHYTO, visant à diminuer l’ Indice de Fréquence de Traitements (IFT) d e 50% en 2025 par rapport à 2018. L’objectif principal du groupe DEPHY Ferme est de diminuer l’usage de produits phytopharmaceutiques (PPP), notamment le cuivre pour le raisin.
L’utilisation de fongicides et insecticides doit
être fortement réduite tout en limitant les pertes de récolte. Afin de répondre à cela, plusieurs essais ont été réalisés sur les parcelles de raisin de table, pour substituer et/ou réduire les doses de cuivre grâce à l’usage de produits alternatifs, de minidoses de cuivre, ainsi que le développement d’autres pratiques culturales.

Suite dans le Magazine de la Bio N°20, pp 19 – 20.

La région Pyrénéenne est assez singulière. D’un coté un massif montagneux avec des estives et majoritairement des élevages bovins et ovins transhumants, de l’autre des zones de plaines ou de coteaux fertiles propices aux grandes cultures mais où il ne reste presque plus aucun animal, résultat de décennies de spécialisation progressive de l’agriculture.

Dans ce contexte, des dynamiques entre éleveurs et céréaliers voient le jour, des partenariats où tout le monde est gagnant : les uns gagnent
en autonomie, les autres voient les taux de matière organique de leurs sols réaugmenter et peuvent remettre de la diversité dans leurs rotations.

L’objectif de cette fiche, réalisée grâce à la coopération entre le GAB 65 et le GIEE Agrivaleur, est d’identifier quelques enjeux existants autour de ce retour des animaux dans les plaines céréalières.

 

Evaluation variétale de 12 tomates noire de Crimée issues de semences hybrides F1 (5) et semences population (8) : comparaison gustative et agronomique. Une 13ième variété issue d’une semence de ferme a été testée dans le cadre de l’essai mais elle n’a pas été greffée.